Les NFT, un sujet d’actualité !

Dans une volonté commune de rapprocher les deux écoles, l’EFB et l’École nationale de la magistrature (ENM) ont consacré une journée, le mercredi 16 novembre dernier, aux enjeux numériques des NFT. Cette première édition avait pour ambition de faire découvrir et de former aux NFT les différents professionnels du droit via une approche pratique. Quelques 150 avocats, magistrats, juristes, élèves avocats, étudiants et professionnels du droit ont pris part aux échanges et à la réflexion générale sur les grands enjeux juridiques que pose le recours aux NFT. Pour ouvrir cette journée qui s’est tenue dans les locaux de l’EFB, la bâtonnière de Paris Julie Couturier, et la directrice de l’ENM Nathalie Roret, ont tenu à souligner la multiplication des projets communs entre l’EFB et l’ENM en matière de formation judiciaire et se réjouissent du rapprochement entre avocats & magistrats. LES NFT, un sujet d’actualité ! La matinée s’est poursuivie par des tables rondes animées par des professionnels du droit. Avocats, universitaires et entrepreneurs spécialisés sur les sujets liés à la blockchain et aux NFT, ont pu débattre sur des sujets liés à l’innovation technologique adossée au droit de la propriété intellectuelle, au droit fiscal ou encore financier, l’occasion pour les intervenants d’esquisser des premières réponses aux différents enjeux soulevés par les NFT. L’après-midi était consacrée quant à elle à des ateliers et workshops pratiques parmi lesquels : « Création de portefeuille blockchain et achat de NFT » ; « Marketing et communication des NFTs » ; « Découverte des hologrammes de NFT » ou encore « Mode, couture : les NFTs et le métavers », tous animés par des sociétés utilisant la blockchain et les NFT pour le développement de leurs produits et services. Pour clore cette journée numérique, une vente aux enchères caritative d’œuvres NFT était organisée au profit de l’association Avocats sans Frontières. Avec l’aide précieuse du commissaire-priseur Romain Verlomme-Fried, une vingtaine d’œuvres, qui avaient été généreusement offertes pour l’occasion par les artistes, ont été vendues permettant ainsi de récolter la somme de 7.570 euros. Nous remercions l’ensemble de nos généreux acheteurs-collectionneurs !
L’EFB poursuit sa transformation

La presse en parle ! Retrouvez dans le magazine Ténors du Droit, Gilles Accomando et Clémentine Kleitz interviewés par Arnaud Dumourier.
« La maison de leur formation »

« Pour les avocats, l’EFB doit être la maison de leur formation tout au long de leur activité ». Le 1er septembre 2022, l’EFB a accueilli Clémentine Kleitz en qualité de directrice adjointe et de directrice de la formation initiale. Un poste nouvellement créé pour épauler le directeur Gilles Accomando. Rencontre avec un binôme qui veut faire de l’EFB rien de moins qu’une école d’excellence. Propos recueillis par Laurence Garnerie pour la Gazette du Palais – Lextenso Avocat. Rendez-vous sur https://www.gazette-du-palais.fr/actualites-professionnelles/pour-les-avocats-lefb-doit-etre-la-maison-de-leur-formation-tout-au-long-de-leur-activite/
Le LabEFB, une vraie révélation pour les élèves avocats

« Pour certains élèves, le Lab EFB permet une vraie révélation de leurpotentiel. » Romain Hazebroucq est le responsable pédagogique du Lab EFB ainsi que le tuteur pour les ateliers de legal design.Il répond aux questions de Jordan Belgrave pour la rédaction du Journal du Village de la Justice. Lien de l’article complet : https://lnkd.in/d9e5AKvs
Il y a du nouveau dans le hall de l’EFB !

C’est avec une grande joie que l’EFB accueille deux nouvelles robes confectionnées par L’ARTISAN COSTUMIER, qui se joignent à la vingtaine de robes déjà présentes depuis plusieurs années.Les modèles de robes ont été élaborés pour Avocats Sans Frontières France, association qui vient en aide aux personnes qui n’ont pas accès à la justice partout dans le monde. Ils ont ainsi participé à la Défense des Droits de l’Homme dans des zones de conflits telles que le Rwanda, le Kosovo ou la Lybie. Il s’agit d’une robe bleue, avec comme mot d’ordre « Là où la défense n’a plus la parole », qui montre le rôle de l’association et la représente lors des salons, rassemblements et expositions ; ainsi que la robe provocante symbolique aux motifs treillis militaire afin de mettre en avant les actions d’Avocats sans Frontières.Pauline Tubiana, avocate au barreau de Paris et trésorière adjointe d’Avocats sans Frontières s’exprime à propos de cette dernière : « Cela montre que nous aussi nous avons des armes, et notre arme, c’est la parole ». Le directeur de l’EFB Gilles Accomando était présent à l’occasion de l’inauguration, ainsi que les membres de l’AEA – Association des Élèves-Avocats. Ce fût un réel plaisir de pouvoir découvrir ces robes ainsi que de pouvoir échanger sur le rôle de l’association Avocats sans Frontières. Nous remercions Frederic Metairie, responsable Commercial de l’Artisan Costumier, qui nous donne l’honneur d’exposer des robes qui donnent vie à l’école, ainsi que Pauline Tubiana pour sa présence et ses paroles enrichissantes.
L’équipe de l’EFB remporte le concours de procès fictif de la Cour pénale internationale

Le 3 juin 2022, se déroulait la finale de la première édition du concours de procès fictif de la Cour pénale internationale, version française. Elle a eu lieu à la Haye, Pays-Bas, dans la salle d’audience II de la Cour pénale internationale.Marc Perrin de Brimchambaut, juge président de la CPI, Mme Reine Alapini-Gansou, juge de la CPI et Adelaide Figueiras, juriste de la CPI composaient le jury. Durant ce concours organisé par l’Académie de droit international de La Haye, 40 étudiants de 10 universités différentes se sont affrontés. La victoire a été remportée par l’équipe d’élèves avocats de l’EFB avec pour membre : Sophie Lejeune, Raphaël Biais, Léa Darvers-Bornoz et Gabriel Sebbah.Ils ont dû exposer devant le jury, face aux autres équipes, leurs arguments dans les rôles du barreau du procureur et de la défense, lors d’une affaire fictive. L’évènement était diffusé en direct sur le site Internet de la Cour et également sur son compte Facebook. Toutes nos félicitations aux élèves avocats de l’EFB ! https://www.icc-cpi.int/fr/news/lecole-de-formation-professionnelle-des-barreaux-france-remporte-la-premiere-edition-du Liens Youtube : 1. Concours de procès fictif de la CPI 2022 – Version française : 2. Annonce des lauréats :
« Acquérir le réflexe européen, les nouveaux défis de la #formation des futurs #avocats »

Tous les enseignements proposés par l’école incluent des enseignements au droit de l’Union intégrés à la formation en droit national. Certains cours sont également autonomes et donnent aux futurs avocats des outils processuels enseignés dans un domaine précis. Par exemple, un cours en matière de droit social s’intitule « Comment gérer un recours devant la CJUE et la CEDH relatif aux discriminations et à la liberté religieuse », un autre « Savoir conduire un dossier contentieux devant les juridictions de l’Union » en droit de la concurrence. La formation sera renforcée par la mise en place prochaine d’un parcours droit européen proposé aux élèves avocats. Rendez-vous dans « L’Avis de l’Expert européen n°24 » du mois de février par Délégation des Barreaux de France.
Julie Couturier, présidente de l’EFB

« Les premiers effets de la réforme de l’examen d’entrée se font sentir » Quelles sont vos ambitions pour l’école ? Julie Couturier : C’est de poursuivre le mouvement déjà entamé, c’est-à-dire les formations communes avocats-magistrats. Effectivement, il y a une présence très forte des magistrats à l’EFB pour apprendre aux élèves, notamment en matière judiciaire, à comprendre dès l’école ce que les juges attendent des avocats. Il y a, par ailleurs, une espèce de décalage entre la perception que les élèves ont de l’école et la réalité. L’EFB a considérablement progressée ces dernières années, notamment sous l’impulsion de Marie-Aimée Peyron, bâtonnier, et Basile Ader, vice-bâtonnier, ainsi que Aliénor Kamara-Cavarroc, la directrice pédagogique. Il est vrai que la création de ces parcours a aussi permis d’améliorer la qualité de la formation, il faut maintenant que cela se sache. On a beaucoup critiqué l’école, disant que ça ne sert à rien, que ses cours étaient trop théoriques, aujourd’hui cela n’est plus vrai. Les changements opérés après chaque élection ordinale sont également critiqués. Qu’en pensez-vous ? J. C. : Je pense, au contraire, qu’il faut que les choses s’inscrivent dans la durée. L’installation, l’année dernière, du directeur, Gilles Accomando, va permettre la mise en place d’un certain nombre de programmes. Nous aimerions insister sur la formation à la vie du cabinet : il faut considérer que les élèves-avocats sont déjà des entrepreneurs en puissance. Nous souhaitons également mettre l’accent sur tout ce qui concerne l’égalité, c’est-à-dire que nous voulons aussi former les avocats aux risques psycho-sociaux, à toutes les questions de conciliation vie professionnelle-vie personnelle. Toutes ces données sont quelque peu nouvelles. Vous parliez de la relation avocats-magistrats. Cela vous tient à cœur personnellement ? J. C. : Oui, toutefois, il ne faut pas oublier que 70 % des avocats parisiens ne font pas du judiciaire mais du conseil. Il ne faut pas non plus que nous ayons un tropisme judiciaire trop fort. Il est vrai qu’une cérémonie comme aujourd’hui, où la cour fait l’effort de se déplacer, c’est important de savoir ce qu’il en est. Mais effectivement, c’est mon sujet depuis des années. Cette année, il y a près de 400 élèves-avocats en moins. Pourquoi ? J. C. : Nous commençons à sentir les premiers effets de la réforme de l’examen d’entrée, qui est devenu national. Auparavant, les Instituts d’études judicaires (IEJ) organisaient leurs propres examens. À partir du moment où il y a un examen national, les résultats sont unifiés. Cela rend les choses un peu plus sélectives, ce qui n’est pas plus mal. Même si je suis radicalement opposée au numerus clausus. Il y a également des évolutions sur le plan sanitaire ? J. C. : Nous allons nous adapter, comme nous avons su le faire durant la première période de la pandémie. Je n’étais pas aux affaires, mais cela continue. Effectivement, nous avons fait le choix du distanciel, au moins pour le mois de janvier, même si nous aimerions revenir le plus vite au présentiel. Autant, lors de la rentrée de l’EFB, nous avions la possibilité d’assurer aux élèves la plus grande sécurité possible avec des FFP2, un siège sur deux, etc. Autant, à l’école, il y a forcément plus de brassage. C’est un peu plus compliqué, c’est pourquoi nous préférons, dans un premier temps et par précaution, être en distanciel. Par QUENTIN CLAUZON17 janvier 2022 https://www.affiches-parisiennes.com/amp/julie-couturier-presidente-de-l-efb-les-premiers-effets-de-la-reforme-de-l-examen-d-entree-se-font-sentir-93498.html
EFB : la nouvelle promotion « à un moment charnière »

https://www.jss.fr/article.awp?P1=2729&P2=EFB__la_nouvelle_promotion_«_a_un_moment_charniere_»
Collaboration entre les élèves avocats et notaires

Les 8 et 9 décembre 2021 s’est déroulé le premier challenge de collaboration associant le élèves avocats et notaires stagiaires dans la conduite d’un dossier fictif . L’objectif de cette édition : rédiger un acte liquidatif dans le cadre d’une procédure de divorce. Lire l’article en entier en cliquant ICI